Le musée de la Marine du château de Brest fait partie des cinq qui sont répartis en France. Le principal est à Paris, au pied de la Tour Eiffel, où l'on peut voir le bateau de l'empereur Napoléon III grandeur nature. Les autres musées sont à Port-Louis, à Rochefort et à Toulon.


Les bâtiments de France sont des endroits où, le milieu est tellement vieux qu'ils sont restaurés pour qu'on puisse encore préserver et accueillir des touristes.
Pour comprendre le thème d'un tableau ou autres choses, il y a des pancartes, ce sont des cartels, ils n'indiquent pas tout, mais ce qu'il faut retenir.
Si des œuvres sont sous vitrines, c'est déjà pour que les gens ne l'abîment pas mais aussi parce que le château est en pierre, et comme il devient vieux, il se transforme en poussière, mais grâce aux travaux, justement, on peut le fortifier.
La mise-en-scène est très importante: par rapport à l'ordre, la suite d'objets, les lumières plus ou moins fortes selon la pièce et les œuvres, de façon à attirer l'œil des visiteurs.


Les expositions permanentes sont des expositions qui ne changent pas , qui restent les mêmes.
Les expositions temporaires sont des expositions qui changent,qui se déplacent dans d'autres villes, pays ou continents....
Au 19ème siècle, pendant la révolution industrielle, à Brest,les métiers principaux,même maintenant, sont dans la marine.
Richelieu à créé l' Arsenal de Brest, car il trouvait que la Penfeld était large.
Les déplacements se faisaient en train à vapeur. L'ancien pont de Recouvrance était en acier, il était tournant. Les bateaux aussi ont énormément évolué, les coques sont en acier et fonctionnent à la vapeur: ce sont des bateaux mixtes.

Si aujourd'hui certain marins ont des pompons rouges, c'est grâce à la femme de Napoléon III: lors de leur visite à Brest , Madame voulut visiter un bateau, et son voeu fut exaucé. Un marin qui était tranquille, vit Madame et sursauta avant de se cogner la tête contre une barre de fer, il saigna et la femme de Napoléon III lui mit un mouchoir sur la tête et il devint rouge...voilà la vraie histoire qui débuta à Brest !


Au 18ème siècle, vers 1749,un bâtiment fut construit en face du pont de Recouvrance, au fond de la Penfeld: le bagne. Le bagne est un endroit où l'on retient, comme une prison, des malfaiteurs qui avaient fait toutes sortes de bêtises et dès 12 ans !
Avant, ils étaient envoyés sur des bateaux en tant que galériens. Ils arrêtèrent et construisirent le bagne où ils étaient condamnés à des travaux forcés. Dedans, il y avait plein de cheminées pour ceux qui gèrent le bagne.
C'était sévère...Les malfaiteurs s'appellent les bagnards. On leur donne une tenue jaune et orange, on leur coupe les cheveux pour l'hygiène et ils sont accouplés avec quelqu'un d'autre, ils sont accrochés au pied tous les deux. Et ils ont une plaque d'immatriculation, un numéro sur leur uniforme pour les reconnaître.
Si un bagnard s'enfuit, on tire le « tonnerre de Brest » ce qui veut dire coups de canons pour alerter les gens pour qu'ils puissent se mettre à l'abri. S'il est retrouvé,il a le choix entre 3 punitions: on lui coupe un bout d'oreille, on le fouette avec un bâton brûlant de goudron ou on lui bloque les jambes pour les compresser...
Le bagne a ensuite été détruit et les bagnards restants ont été emmené en Guyane Française.