Le musée

mardi 24 juin 2008

La Belle-Angèle

Mardi 10 Juin nous sommes allés sur La Belle-Angèle et nous avons navigué pendant trois heures sur la rade de Brest.
Le départ:
Nous sommes arrivés ou quai, nous voyons les bateaux: La Belle-Angèle, La Belle-Étoile et La Recouvrance !


Pour monter sur La Belle-Angèle il fallait grimper sur La Belle-Étoile, puis passer de bateau en bateau. Pascal et Géraldine étaient responsables du bateau.
« Hop»! On allume le moteur et on sort du port.
L'installation du matériel:
Pour installer les voiles il faut:(5 matelots costauds et serviables et de l'expérience)
Tu tires sur un cordage de toutes tes forces. Comme voiles, il y a la misaine (la voile à l'avant ) et le taillevent celle de derrière.

La balade:
Pendant la balade on a vu: La pointe des Espagnols, et L'île Ronde ... Et aussi on a pu visiter les cabines. En dessous il y a : la salle des machines, la VHF.
On a bien navigué et au retour un bateau un moteur est passé à côté de nous et a fait grandes vagues.
En tout cas, on s'est bien amusé.

La belle Angèle

J 'ai mis un gilet de sauvetage. Le bateau était noir et vert.
Il y avait comme matelots: Pascal et Géraldine.
Puis on est monté à bord du bateau.


Il y avait 2 voiles rouges: il y avait la misaine celle qui a était ouverte la 1er puis on a ouvert le taillevent.
Il y a des noms pour gauche c'est bâbord et droite, c'est tribord.
Priscille, Laura, Audrey, Pauline, Emelyne, Floriane et moi nous avons tiré le cordage.
Sur la ''Belle Angèle'' on était 20 enfants et 5 adultes (2 navigateurs, 1 maître et 2 parents.)

vendredi 20 juin 2008

La Belle Angèle

La Belle Angèle est un voilier qui, autrefois, servait à transporter les marchandises.
Avec ma classe, nous y sommes allés pour découvrir et faire un tour sur la rade de Brest. Ce voilier est noir et vert, en bois bien sûr, et a des voiles rouges.
Pour démarrer, Pascal et Géraldine, les matelots chargés de nous conduire, ont commencé par nous demander d'aller à un certain endroit sur le pont pour qu'ils puissent passer pour préparer les cordages.


Au Quai Malbert, on avançait à 2 nœuds environ. Arrivés à la digue, les voiles ont été lâchées et l'aventure commençait car, maintenant, on allait à 5 nœuds.
Une fois au milieu de la rade, on arrêtait les moteurs et on avançait avec nos propres moyens: les voiles.
Pour conduire le gouvernail, on pouvait voir devant, une espèce de boussole où étaient notés les degrés avec une bulle qui indiquait le positionnement de la direction.
Pour aller à bâbord (gauche) on poussait la barre à tribord ( droite) et inversement.


Parfois, il fallait tourner, ce qui veut dire changer de direction par rapport au vent ce qui s'appelle virer de bord où il faut tirer sur le cordage et tout d'un coup, la voile passe de gauche à droite (ou inversement).
La cale aussi est grande, il y avait un bureau, pour faire des calculs et savoir où on est , une chambre avec 2 ou 3 lits, une cuisine... c'était suffisant!
Et pour être connecté avec les autres bateaux ou la terre ferme, les matelots ont des oreillettes VHF.

La Recouvrance

Nous sommes allés au port de commerce pour visiter un bateau. Le capitaine du bateau s'appelait Jean-Hervé et les matelots Morgan, Yann et Jean-Luc.
1.Pour commencer, ils ont démarré le bateau après que la Belle-Étoile soit partie.
Il y avait plusieurs voiles comme: le petit perroquet, la grand-voile, la misaine , le petit foc et le grand foc.
Après être sorti de Quai Malbert, on a hissé les voiles.
Il fallait tirer sur plein de cordes.
Pour tirer les cordes il fallait être à 2 où 3 maximum.


Les voiles servaient à faire avancer le bateau avec le vent. I
l y a plus de 400m²de voiles sur la Recouvrance.
Il y avait des prismes pour que la lumière du soleil puisse rentrer à l'intérieur du bateau au lieu d'utiliser de l'électricité.
La Recouvrance à été construite au chantier du Guip.
Pour faire demi-tour il fallait faire tourner la Brigantine.
Après être arrivé au Quai Malbert on a rangé les voiles.

La belle angèle

Mardi 10 juin nous sommes allés sur la belle Angèle. Le capitaine s'appelait Pascal et la matelot Géraldine. Ils ont raconté a quoi servait le bateau avant, il transportait la marchandise, des charges.


Au début pour sortir de la rade nous avons mis le moteur.
Il y avait deux voiles qui s'appelaient la Misaine et l'autre le taillevent.
Nous avons pris la barre chacun à notre tour accompagnés de Géraldine à côté de nous.


Les objets : Il y avait un compas, une carte de la rade de Brest. Ce qu'on a fait : Nous avons pris la barre, tiré sur les voiles.
Nous les avons aidés pour plein de choses.
Ils ont changé les voiles de côté: On appelle ça le virement de bord. On nous a dit que Bâbord c'était a gauche et tribord a droite; on allait plus souvent a bâbord qu'a tribord.
Géraldine nous a donné une astuce pour savoir si les bateaux vont nous foncer dedans ou non. Elle nous a dit de rester à la même place (fixe) et voir si les bateaux sont alignés sur nous: il peut nous foncer dedans, sauf s'il va plus vite que nous.
Pascal nous a demandé si on avait des questions et moi j'ai demandé laquelle des voiles est la plus grande et il a dit que c'était a peu près pareil.
Un transrade est allé a côté de nous et il nous a fait des grosses vagues qui on fait bouger le bateau.

La belle Angèle

Quand nous sommes arrivés sur le quai, il y avait une dégustation de fruits.
Pascal était le capitaine et Géraldine, le matelot. Géraldine était née sur un bateau en plein Océan Atlantique.
La Belle Angèle était splendide, elle avait la coque noire et les voiles rouges, mais c'était un petit bateau.
Le temps était ensoleillé.

On m'a laissé prendre le gouvernail. Mais pour la diriger, c'était dur, parce quand on vire à tribord, on va à bâbord.
Les filles aussi avaient le droit de changer la voile d'un côté à l'autre.
On nous a donné le nom des voiles: la misaine et le taillevent.

Un transrade est passé à côté de nous, et a penché le bateau, j'ai failli perdre mon sac.
Pendant que la Recouvrance longeait la côte, nous, on faisait des cercles dans l'eau.
Il y avait beaucoup de vagues et de vent.
La V.H.F se fait entendre en français puis en anglais.
On faisait la queue pour visiter le carré (l'endroit où ils vivent), j'ai vu des toilettes, des lits, un bureau, la cuisine, c'était comme une maison mais en plus petit.
Et même s'ils étaient professionnels, ils avaient une boussole avec des degrés, un compas et une carte.

jeudi 12 juin 2008

Le patrimoine maritime

Le mardi 26 mai, M. Jean-Marc Sochard, est venu à l'école nous expliquer ce qu'est la navigation et pour nous parler des bateaux du patrimoine maritime.
Il est venu avec la maquette du Corentin qui ressemble beaucoup à la Belle-Angèle qui a été construite à Pont-Aven en 1872 (défaite de Napoléon III et commencement de la 3ème République).



Les bateaux ont été construits surtout pour le transport (comme il n'y avait pas de beaucoup de routes), la guerre et la pêche.
« Si vous partez de Brest pour aller à Audierne, le capitaine doit vérifier le bateau, faire une liste":
vérifier les voiles, les cordages
vérifier la coque,
connaître le courant , la marée,
prendre une boussole et une carte

puis prendre nourriture et eau (Ils devait emporter beaucoup de nourriture même pour aller à Quimper parce que en bateau on met beaucoup plus de temps, surtout quand il n'y a pas de vent.)
Le capitaine savait la météo grâce à la direction des oiseaux, le mouvements des poissons, la forme des nuages et dans quelle direction vont ces nuages. On dit que les agriculteurs le savent aussi.
Il faut regarder sur une carte où sont les rochers.
Ils peuvent savoir où ils sont grâce au soleil.
Pour donner une poutre à un village, l'équipage attendait la marée basse et faisait échouer le bateau pour que le village envoie une charrette avec des bœufs : ils mettaient la poutre sur la charrette et ils repartaient. Le bateau attendait la marée haute pour repartir: ça s'appelle un port d'échouage.
Mais comment prévoir si la marée sera haute ou basse ?
Tout comme la Terre, la Lune a une gravité qui peut attirer des milliards de particules de gouttes d'eau et, elles sont très très légères, du coup elles sont attirées. La mer monte et descend deux fois par jour.
Ils avaient besoin de l'heure pour savoir où ils étaient comparé au soleil, comme ils n'avaient pas d'horloge ni de montre, alors ils prenaient un sablier qu’une équipe entière était chargée de compter combien de fois ils avaient retournés le sablier; s’ils se trompaient une seule fois l'équipage pouvait périr.
Le vrai trésor de la navigation était l'eau de laquelle ils dépendaient.




Les bateaux anciens, les gens considèrent qu'ils font partie du patrimoine. Le Patrimoine, ce sont les vestiges du passé de la pêche, les bateaux de transport.
Aujourd’hui, on se donne du mal pour reconstruire des bateaux en bois pour savoir comment ils naviguaient à l'époque et transmettre des informations sur les bateaux pour qu’elles ne s'oublient pas..